Programme culturel de décembre de l’Institut Français d’Annaba
Description
La langue arabe est à l’honneur ce mois de décembre à l’Institut Français. Les activités culturelles se poursuivent jusqu’à la fin de l’année à Annaba. Au programme des projections pour petits et grands et des pièces théâtrales.
Projections:
- Jeudi 8 décembre à 17h30 h « Je me suis mordue la langue » et « La grosse moula ou li michan »
Je me suis mordue la langue de Nina Khada
Alors que je n’arrive pas à me rendre dans mon pays, je décide de faire un détour. Je déambule dans la ville de Tunis à la recherche de ma langue d’origine, l’algérien.
La grosse Moula ou li michan de Amira Louadah
Des sonorités qui s’harmonisent ou se déchirent : algérien, kabyle, arabe, français, tamazight, anglais. Une famille, celle de la réalisatrice, se pose la question de la transmission des langues dans le contexte de l’Algérie post-indépendance et contemporaine. Un espace intime qui se délite pour accueillir par saynètes des histoires d’autres algériens croisés dans la rue ou par son intermède. À travers leurs perceptions multiples et contradictoires, un paysage linguistique se tisse, révélant des enjeux sociétaux autour des dominations sociales, des identités et de l’histoire dont l’histoire coloniale.
Ciné-goûter:
- Samedi 10 décembre à 16h « L’extraordinaire voyage de Marona »
D’Anca Damian.
Victime d’un accident, une chienne se remémore ses différents maîtres qu’elle a aimés tout au long de sa vie. Par son empathie sans faille, sa vie devient une leçon d’amour.
- Samedi 17 décembre à 16h « Poly »
De Nicolas Vanief.
Cécile, une fille 10 ans, déménage dans le sud de la France avec sa mère, Louise. Malheureusement pour elle, l’intégration avec les autres enfants du village n’est pas chose facile. Lorsqu’un cirque de passage s’installe à côté, Cécile découvre que le poney Poly est en réalité une vedette maltraitée.
L’accès à toutes les projections est libre, sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Théâtre:
- Lundi 12 décembre à 18h « Taha, le monde ne voulait pas de moi »
De Amer Hlehel.
Taha s’inspire de la vie du poète palestinien Taha Muhammad Ali, symbole d’une Palestine perdue et reconquise par les mots.
L’accès est sur réservation à l’adresse reservation.annaba@if-algerie.com